Récré mouvementé [pv Nazo]

J'avais courus pour je ne sais qu'elle raison. Arrivée à la cour de récréation, j'allai me rendre à l'arbre indiquer par Mihara mais elle s'apperçut bien vite que celle-ci avait un petit problème. Elle était entourée de journaliste. Comment ont-ils pus pénétrés l'école ?! C'était pourtant impossible... Dès que les journalistes m'eut repéré, il se dirigèrent rapidement vers moi en braquant leur appareil sur mon visage. Et c'était repartis pour un tour !

"Mademoiselle Kozu, comment appréhendez-vous la remarque de votre plus grande rivale ?"

"Croyez-vous que vous serez encore sélectionner cette année ?"

"Est-il vrai que vous avez...."

"STOP !!!"
Criais-je.

"Je n'ai pas à répondre à vos questions. Si vous voulez des réponses, allez en parler à mon coach !"

Ils continuèrent quand même leur questions ettoufantes. Comment allais-je me sortir de là cette fois ?! Quel galère...

Bien que par le faite qu'elle disait à Nazo qu'elle n'à rien, cela n'est pas pourtant qu'on aurait dis qu'elle l'évite à tout prit le chasseur d'esprits. Quand elle le quitté pour allé dans la cour de récrée, Nazo se demanda alors pourqui elle se comporte de cette façon. Le jeune homme décida de la suivre discrètement puis après quelques pas vers la cour de l'école de nouveaux visiteurs étaient présent, ils s'agissaient enfaite une bande journaliste mais qu'est-ce qu'ils les attirent pour faire la une de leur journal ? Non loin de là, il aperçoit Kykio qui semblerait prit au piège par ces questions et les flashs de leur appareil.

Les flashs continuèrent à l'aveuglé, mais soudain Nazo aperçevoit une silhouette dissimuler derrière l'arbre où est situé Kikyo. Cette personne était la même qu'il avait dans son coma, elle se dirigea vers lui dans un paysage figé par le temps dont est affecté tout le personnage sauf le chasseur. L'homme arriva sa hauteur en sortant ses mots :

"Je ne t'ai pas oublié et ton gardien à tenu sa promesse de te protegé."

"Qui êtes vous ?"

"Tu le saurais quand le moment sera venus."

Après ces dernières paroles il disparaît dans l'ombre et le temps s'arrête d'être figé en reprennant leur cadence, Nazo se demanda qui était cet homme en noir dôté d'une capuche très sombre. Il secoua légèrement en essayant d'oublier de comprends puis il le regarda Kikyo qui est envahit par ces journalistes, il s'avança vers eux tout en les poussant.

"Laissez-là tranquille !"

"Laissez-là tranquille !"

*Oh mon dieu... Là je suis finis !*
Pensais-je.

Il manquait plus que ses satanés journalistes fassent une édition bizarre du genre: relation amoureuse et cie!
Le coach me tuerait certainement ou pire... Et Mokona... Mieux vaut ne pas y penser ! Je crains déjà le pire rien que d'y songer. Je soupirais longuement en levant les yeux au ciel puis je pris la main de Nazo.

"On y va !"

Alors que je sortais de cette immence population de journaliste, un imbécile cria haut et fort afin que tout le monde entende.

"On peut dire que vous n'avez pas perdus votre temps ! D'abord l'histoire de votre cheville et maintenant vous entretenez une relation amoureuse au lieu de vous entraîner pour les prochaines compétitions. Croyez-vous vraiment que c'est comme ça que vous allez gagné votre place ?"

Je reçus comme une décharge électrique qui me força à m'arrêter. Mihara était venus à ma rencontre et recula à peine arriver près de moi. Elle comprit immédiatement qu'il ne valait pas mieux m'approcher. Je me tournais alors vers les journalistes et me rapprochant d'eux d'un regard noir. Ceux-ci reculèrent en voyant dans qu'elle état j'étais. Je pris un micro au hasard et inspira profondément.

"Vous avez intêrret de bien m'écouter parce que je ne vais pas le répéter."
Dis-je calmement.

"Oh non... Je sens que ça va mal finir..."
Dit Mihara un peu plus loin de moi en compagnie de Nazo.

"Je n'ai pas de relation amoureuse et ni de petit-ami !!!! Ma vie privée ne vous regarde pas que je sache !!! Et qui vous dit que je ne me suis pas entraîner bande d'imbécile ?!!!! Je suis l'une des 3 meilleures patineuse de cette ville alors ce n'est pas 10 petits journalistes complètement idiots qui ne connait rien au patinage artistique qui vont me dire quand et de quelle manière je dois m'entraîner !!!!!!"

"Doit-on en conclure que la provocation de votre rivale ne vous a pas atteint ?"

"Oui !!! Elle ne me fais ni chaud ni froid !! On verra bien ce qui se passera sur la glace la semaine prochaine !!"

Mihara soupira, certains tournèrent les yeux vers moi l'air surpris et d'autres commençait à chuchoter de manière non discrète. Je rendis le micro en le jetant à un journaliste au hasard et partit l'air soulager.

"Mais qu'est ce que tu as fait Kikyo ?!! Tu sais très bien que..."

"Pas le peine de t'inquiéter, tout va bien ! Tout ce que je viens de dire ne sera jamais publier au grand public."

"Quoi ?"

En effet, mon coach accompagné de Monsieur Terada et le directeur de l'école confisquait tous les appareils photos, caméra et autres des journalistes. En me voyant, le coach me fit un petit coucou que je répondis par un sourire.

"Bien jouer !"

"Merci ! Je crois qu'ils vont se souvenir de ce jour-là."

Mihara se mit à sourire mystérieusement.

"Qu'est ce qu'il y a ?"

"Vous êtes si mignon. Pourtant, j'ai l'impression que tout vous sépare..."
Dit-elle en murmurant.

Je la regardais d'un air interrogateur mais celle-ci me souriait toujours aussi étrangement.

"Nazo je t'ai préparé ton repas. Venez, allons manger ! Nous avons encore le temps avant que la pause se finis."

Kikyo avait trouvé une sorte de mensonge si cela est bien un stratagème pour envoyer les journalistes au diable, pendant son dicours Mihara et Nazo étaient mis de côté et les journalistes ont étaient facillement embobiné bien que après Kikyo revient vers ses amis que les responsables de l'écoles confisca le matériel de ces rapaces. Kikyo sentit un court soulagement ainsi que Mihara, Nazo ne comprenait pas. Est-ce que Kikyo est une simple écolière ou une vedette aux yeux de ces journalistes ? Et qui était sa rivale ? Mihara ne comprenait pas non plus l'habitude que son amie à en ce-moment en cachant cela par un sourire elle sortit ses concernant au petit couple qui se tenait en face d'elle puis elle changea de sujet vers la fin en disant au jeune homme qu'elle a fait son repas.

"Euh, merci."
Répondit-il avec petit air confus.

Ensuite il suit Mihara accompagné sans doute avec Kikyo pour pouvoir manger tranquille sans être déranger par quiconque qu'ils veulent saccager leur repas.

Après ce petit incident arrivé, nous allions mangé tranquillement, Kikyo, Nazo et moi. Assis près d'un cerisier, tous mangèrent silencieusement, trop silencieusement. Je regardais Kikyo qui restait fixer sur son repas tout en mangeant. Elle essayait juste de fuir les regards qui se tournait vers elle, et principalement celui de Nazo à mon avis.
Il était de mon devoir de détendre un peu l'atmosphère enfin juste un peu.

"Alors, est-ce que c'est bon ?"

"Oui, très."

Cela n'avait pas beaucoup marcher puisque le silence retomba de nouveau. Cette fois, j'attaquerais plus fort alors.

"Ca fait combien de temps que vous êtes ensemble ?"

J'avala ma boulette de riz de travers ce qui me fit tousser fortement. La boulette restait dans ma gorge.

"Kikyo, est-ce que ça va ?!"

"Keuf keuf keuf !!!"

Je tapais alors fortement sur ma poitrine afin que le repas passe. Quand se fut le cas, je posa mon repas calmement puis je pris une grande inspiration.

"C'est quoi cette question bizarre ?! Non mais ça va pas !! C'est vraiment gênant là !!"
Dis-je doucement avec le rouge aux joues.

"Pardon. Un désert ?"

Je la regardais d'un exaspéré. Vivement que la journée se finissent !

"Pas mal."
Répondit Nazo au sujet du dîner préparer par Mihara.

Pendant ce temps Kikyo semble également apprécier ce repas, une fois fini sa copine leur demandait combien de temps qu'ils sont ensemble. Aussi tôt Kikyo fût suprit de cette question qu'elle a faillit s'étouffé par sa boulette, heureusement cela est vite digéré et elle disait donc que cela est très gênant pour sa part. Nazo ne disait rien, il se demande encore qui était cet homme qu'il avait vue entre temps bien avant ce dîner. Mihara voulant changé de sujet pour oublier en proposant à ses amis un déssert.

"Non merci."
Répondit-il plongé dans son esprit.

"Personne ne veut de dessert ?"

"Euh... Je n'ai plus très faim en fait..."

"Ce n'est pas bien grave, je réserverais ça pour la prochaine fois."

Elle commença alors à débarrasser et je m'empressais de venir l'aider. Une fois que tout fut ranger, je me levais et m'étira longuement. La journée n'était pas encore finis que j'étais déjà fatiguée. Allez courage, il ne reste plus beaucoup de temps après tout.

*Ce n'est que le début de la fin...*

"Hein ?"

Kikyo regardait autour d'elle. Que lui arrivait-elle ?

"Quelque chose ne va pas ?"

"Si si, c'est juste que... "

*..... la fin... début.... éternel !"

A cette instant, les yeux de Kikyo devinrent rouge. Elle tomba rapidement à genoux en mettant les mains sur ses yeux. Je mis près d'elle, abandonnant mes affaires.

"Kikyo ?! Kikyo ?!!"

Elle releva doucement les yeux et observa Nazo. Elle se leva alors et prit les mains de Nazo.

"Danger... Fin... Début de la fin... Protection... Esprit..."

Elle continua à dire des mots incompréhensible. Heureusement, personne ne nous entendait ou même nous voyait.

"Esprit... Na... Nazo... Lune... Danger..."

Et d'un coup, elle s'arrêta de parler. Elle chancela en arrière pour enfin se pencher pour tomber mais je la rattrappa à temps.

"Kikyo ??? Tu m'entends ??!"

Elle avait les yeux à demi ouvert, le regard vide.

Quelque chose se produisit, c'est un chose plus tôt étrange et dirigé vers le spiritisme cars ce n'est pas Kikyo qui est parlait à cet instant. Mais plus tôt une esprit qui essaye de prendre un contact avec le chasseur. Nazo comprit plus ou moins ses mots, danger, fin, esprit et lune. Ses mots peuvent avoir un lien, mais quelle est la source de mots clés...

"Qui êtes vous ?"
Demanda-t-il.

Malheureusement il n'a aucune réponse aussi tôt que le corps de Kikyo tomba en l'arrière, Mihara le rattrapa par une réflexe. Le jeune homme s'avança ensuite vers la jeune chasseuse tout baissant pour atteindre son niveau.

*Qui est cet esprit ?*
Pensa-t-il.

"Kikyo, qu'as-tu ressentis ? Est-ce que ça va ?"
Interrogea-t-il en prennant sa main.

"Kikyo, qu'as-tu ressentis ? Est-ce que ça va ?"

Elle ne répondit pas, les yeux toujours à demi-ouvert. Je lui tapais alors légèrement la joue mais je n'eu aucune réaction. Je sentis alors quelque chose me mouiller légèrement. Ca sentait le sang. Je regardais alors son épaule d'un air surpris. C'était impossible !

"Mais qu'est-ce que...."

Sa blessure s'était réouverte... Mais c'était impossible! Elle avait cicatriser alors comment se faisait t-il qu'elle saignait encore ??!

"Kikyo ? Kikyo ?!!"

Elle s'était évanouis. Rika passa alors vers nous et je l'interppella immédiatement.

"Rika ! Va vite appeller Monsieur Terada et l'infirmière."

En voyant l'état de mon amie, elle courut les prévenir. En même 5 min, ils étaient là. L'infirmière me demanda de la poser par terre pour voir ce qu'elle avait. En voyant la grosse tâche de sang sur l'uniforme de Kikyo et un peu sur le mien, elle me demanda immédiatement ce qui lui était arriver.

"Elle s'était recemment blesser mais je vous assure que sa blessure avait cicatriser. Je ne comprend pas pourquoi..."

Les larmes se mit à couler alors. Rika essaya de me réconforter du mieux qu'elle pouvait. Après tout, c'était moi qui l'avait soigner pendant ses jours d'absence et je me sentais un peu responsable de se qu'il lui arrivait maintenant. L'infirmière se retourna vers nous.

"Ca n'a pas l'air d'être bien grave mais il faut arrêter l'hémorragie. Monsieur Terada, pourriez-vous la porter jusqu'à l'infirmerie s'il vous plait ?"

"Bien sûr."

Il l'a prit doucement dans ses bras afin de ne pas la réveiller. L'infirmière nous regarda quelques secondes Nazo et moi puis finit par dire:

"Vous deux, j'ai quelques questions à vous posez. Vous resterez donc avec moi."

Elle regarda Monsieur Terada afin de lui demander si cela ne le dérangeait pas si elle nous prenait avec elle au lieu d'aller en cours. Celui-ci l'autorisa à nous prendre. Nous dirigeons alors tous vers l'infirmerie.

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